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Nicole Doudou

A force de travailler voici Doudou !

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         Elle crève depuis quelques temps l’écran à travers la présentation du 12 heures sur CRTV. Son teint noir, sa taille corpulente, sa mine sérieuse et ses tenues responsables, n’arrêtent pas d’arracher des appréciations de plus en plus éloquentes chez ses fans.  Elle travaille pour la CRTV et est Chef d’unité du contentieux du Droit commun à la Division des activités de souveraineté. Pour certains elle constitue une découverte. Et pourtant, Nicole Doudou creuse son sillon depuis plusieurs années à la CRTV. Elle a accepté de se livrer à Noms et Visages de presse. La voici donc toute douce, votre doudou, toute à vous ! 

         Née le 11 janvier 1981 à Ngaoundéré dans une famille de 11 enfants dont quatre garçons et sept filles. Elle est originaire de Boboyo dans le Département du Mayo Kani, région de l’Extrême Nord.  Son enfance a été marquée par la vie chrétienne de sa mère membre du mouvement femme catholique : « j’ai beaucoup appris de la vie associative dans le mouvement d’Action Catholique ACE Cop’Monde, le groupe liturgique et la chorale »

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         Nicole fait ses premiers pas d’écolière à l’Ecole de la mission catholique de Lara dans la région de l’Extrême-Nord puis, elle fréquente l’école Primaire de  Djohong dans le Mbéré,  région de l’Adamaoua où elle obtient le CEPE. Parvenu au secondaire, elle séjourne avec brio au Lycée classique et moderne de Ngaoundéré et y décroche le  Baccalauréat A4 allemand avec la mention assez bien en 2001.

         Nicole Doudou est titulaire d’une Maîtrise en Droit privé à l’Université de Ngaoundéré et d’un Master en sciences politiques dans la même université. Quelques diplômes universitaires jalonnent sont ascension : diplôme de technicien supérieur en Art et techniques de l’audiovisuel option animation radio et télé obtenu en 2011 au CFPA CRTV. Elle en sort d’ailleurs vice major. En 2016 à l’Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ESSTIC), la journaliste obtient une Maîtrise professionnelle en journalisme politique. Parmi ses camarades journalistes : Ernest Obama,Armand okol, Snowsel du poste national, Nely Christelle ondoua crtv centre, Dieudonné Gaibai camrail, Mohamadou Oumfa, et Éric Assako de CRTV sud. Il faut dire que le journalisme lui plaît depuis belle lurette : « J’ai commencé le journalisme depuis le lycée classique et moderne de ngaoundere avec le club journal. Puis avec le  club communication de l’Université de Ngaoundéré. Je citerais aussi la participation aux émission des jeunes les mercredis après midi sur CRTV Adamaoua « jeunesse du plateau » créee sous Paul Ngougnou comme chef de station à l’époque. Le journalisme et moi c’est une histoire de passion et d’amour. »

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         Sa passion pour le journalisme se voit nourrie par des stages au Poste national en 2010 et 2016 et en 2011 à CRTV Extrême Nord.

Un parcours professionnel à ligne montante

          En 2007 Nicole Doudou est recrutée comme collaboratrice extérieure à  la CRTV et est précisément affectée à CRTV Adamaoua. En 2013 elle est affectée à la Direction des programmes et de la production (DPP) et sert la revue de presse aux téléspectateurs dans  les émissions bonjour et vendredi show. Alors qu’elle est productrice et présentatrice du magazine TIC « haut débit » la jeune journaliste bénéficie d’un voyage d’études en Suisse où elle travaillera en binôme avec une journaliste de radio télévision suisse Cécile Guérin sur  » santé numérique » en 2016. Doudou en profite pour Visiter les hôpitaux universitaires de Genève, l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, le parlement fédéral à Berne et l’hôpital du Sion dans le canton du valais. Amoureuse du travail, elle produit un magazine de 13 min sur les camerounais de Suisse, disponible sur youtube.

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         En 2o16 son affectation au service politique de la direction de l’infirmation radio lui donne l’occasion de présenter les Journaux télévisés du matin. Par ailleurs, elle animation la rubrique « actu média » dans l’émission « dimanche midi ».

         En 2015 Nicole Doudou entame une nouvelle aventure journalistique, celle de la présentation du journal télévisé de minuit. Depuis le 16 juillet 2018 elle est titulaire à la co-présentation du journal télévisé  de midi.

         Le 29 juin 2017 elle est nommée chef d’unité des affaires judiciaires à la division des activités de souveraineté par le directeur général Charles Ndongo et le 22juin 2018 elle est une fois de plus nommée chef d’ unité du contentieux du droit commun à la division des activités de souveraineté.

Préférences

Couleurs préférées : bleu et le vert citron. Mes hobbies: le sport, la lecture, les danses sportives, les voyages. Plats préférés le eru, tarot sauce jaune et ndolè au mignondo. Mes sports: fitness en salle, volley ball, danse sportive et le lawn tennis. Jamais sans mon fitness. En moyenne 2 fois par semaine.

Slogan de vie

 « Tout ce qui s’obtient de haute lutte est beau et solide »

Ses  icones

Charles Ndongo, Alain Belibi, Michel druker, Madeleine soppi kotto, Ibrahim chérif et Rodrigue Bertrand Tueno.

Un conseil aux jeunes

Se méfier de tout ce qui est facile

Pires souvenirs

« Le décès de mon père le 22mai 2009 alors que j’étais en formation au cfpa »

Meilleur souvenir

«  Ma sélection pour participer au voyage d’étude en suisse en 2016 grâce à l’opération » en quête d’ ailleurs »

Doudou vue par elle-même

« J’ai tracé le chemin de ma vie grâce au dur labeur et à la prière. Je suis une femme africaine, teint noir, 1m68, corpulente, mine sérieuse mais derrière se cache un cœur en or.»

Ses perspectives 

 « Pourquoi ne pas devenir enseignante d’université et écrivaine pour enrichir le monde de la recherche et transmettre mes expériences aux générations futures. »

Par André BION

copyright 2018

andrbion@yahoo.com/nomsetvisagesdepresse.wordpress.com

 

Adrienne Engono Moussang

De la publicité au journalisme

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Son nom est depuis 2012,  collé aux parutions du quotidien Mutations. Elle est sans doute parmi les plus anciennes de la rédaction de cet organe de presse. Ses signatures ne sont pas du tout méconnues des fidèles lecteurs de l’un des premiers quotidiens privés camerounais. Adrienne Engono, journaliste au quotidien Mutations, responsable de la rubrique Santé-environnement, bien que très effacée a, à notre agréable surprise accepté de nous dire tout ou presque sur quelques pans de sa vie de reporter, de femme ou de journaliste tout court.

         Mariée, mère et déjà grand-mère, Adrienne Engono obtient  le baccalauréat en 1992 et en 1995, elle est reçue à l’Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ESSTIC), filière publicité. Elle en ressort en 1998.

            Après l’école, elle opère une mutation elle préfère le journalisme à la publicité. Elle s’en souvient : « J’essaie de travailler dans le domaine de la communication. Mais face au manque de structure sérieuse, je vais, grâce aux enseignements reçus sur le journalisme, je me lance dans le métier. Je collabore avec plusieurs organes de presse privé. Je ferai un détour au ministère des Domaine et de Affaires foncières, comme temporaire. Je quitte ce ministère en avril 2006. »

         Adrienne a offert ses services au CEPER, au service média entre 1998 et 2002 et à l’Agence Panafricaine de l’information Panapress,  de 2006 à 2015.

         Puis, Adrienne est recrutée au journal Le jour où elle travaille de 2007 à mars 2012.  En avril 2012 la journaliste dépose ses valises au quotidien Mutations. Elle s’y fait remarquer et est nommée responsable de la rubrique Santé-environnement.

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            En termes de recyclage, Adrienne a pris part à plusieurs formations. Entre autres : spécialiste en science, suite à une formation en ligne organisée par la Fédération des journalistes scientifiques. Pour l’agence panafricaine d’information (panapress).

         La journaliste est membre de plusieurs associations dont la Fédérations mondiale des journalistes scientifiques qui lui a permis de se former en ligne comme journaliste scientifique. Adrienne est SG de l’association des journalistes et communicateurs scientifiques du Cameroun scilife et Présidente du réseau des journalistes pour l’application du plan d’action de Maputo, santé et développement.

Slogan

« J’aime le travail bien fait, l’honnêteté, la sincérité.»

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Ses joies et peines

«  Dans la vie et dans la profession ; je vais dire que je n’ai pas souvent de peine parce que après coup, je positive. Et finalement, la peine se transforme en joie. Je pense que la vie est très simple et compliquée en même temps, il faut éviter de l’enlaidir tout simplement. »

Ses  souvenirs 

« Je garde de très bons souvenirs  de mes voyages notamment, la visite de l’île de Gorée au Sénégal, le site du baptême de Jésus au Jourdain, lors de mon voyage en Jordanie, etc. »

Des  anecdotes 

« Dans un organe de presse, l’on m’a confié un sujet sous le prétexte que j’étais proche du sujet concerné et le sujet est devenu un des plus lus dans les journaux. »

Préférences

 « J’aime tout ce qui est bien fait, j’ai horreur de la tricherie. Mes couleurs préférées : quand je regarde dans ma garde-robe, je me rends compte que beaucoup de mes vêtements sont rouges. Je ne sais donc pas si ceci signifie que j’aime cette couleur. Mais comme c’est une couleur parfois dédiée aux enfants, c’est peut-être parce que j’aime beaucoup les tout-petits, je suis donc attirée par ce qui les caractérise. Mes plats préférés. Tout ce qui est africain. Mais en tant que Yambassa, les feuilles de manioc salées et le manioc. »

Ses icônes 

«  Dans la profession, en restant au Cameroun, je peux citer Boyomo Assala et Gervais Mbarga. »

 

Par André BION

copyright 2018

andrbion@yahoo.com/nomsetvisagesdepresse.wordpress.com

 

Jean Bruno Tagne

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Du sérieux dans les yeux d’un pur talent lumineux aux cieux de la presse

Pas besoin de deviner que l’imperturbable journaliste, écrivain et producteur audiovisuel Jean Bruno Tagne, travaille pour la chaîne de télévision canal2 international. Tellement il incarne l’image de ce média y imprimant sa marque depuis qu’il y offre brillamment ses services. Il y est d’ailleurs Directeur Général Adjoint et présentateur vedette de l’émission « La Grande Interview ».  De l’avis de bon nombre de ses fans, il est très calme et posé. Le journaliste ne cesse pourtant de défrayer positivement la chronique dans l’univers médiatique camerounais. Mais qui est-il réellement ? L’homme, le journaliste, l’écrivain ou encore le chef de famille, Jean Bruno Tagne nous ouvre son cœur à cœur joie, dans Noms et Visages de presse.  

 

                             Un parcours ordinaire mais luminaire

         Jean Bruno est né il y a une trentaine d’années. Il est marié, père de deux enfants et l’aîné d’une famille de six enfants dont quatre frères et deux petites sœurs. Ses parents qu’il considère comme étant assez stricts et sévères,  résident à Bangangté. Son père est instituteur retraité et sa mère ménagère. Il entame ses études primaires et secondaires à Bangangté où il obtient le Certificat d’Etudes Primaires et Elémentaires à l’école publique groupe 1 de Bangangté. Le baccalauréat A4 Allemand, il le décroche  au lycée classique de Bangangté en 1998, avec mention assez bien.

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         Parvenu au niveau universitaire, Jean Bruno  s’inscrit à  l’université de Yaoundé II à Soa où il empoche une  Licence en Droit privé. A cause des troubles causés par un mouvement d’étudiants dans lequel il aurait participé en année de Maîtrise en Droit privé, il tente avec succès, le concours d’entrée à l’Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication. « Je suis de la 34ème promotion de journalisme de l’ESSTIC. Une promotion dans laquelle il y a eu  pas mal de professionnels. Les uns sont à la Crtv et les autres fonctionnaires au Mincom. C’était une promotion assez spéciale qui a beaucoup fait parler d’elle à l’ESSTIC. Nous avions de l’audace ! » Parmi ses camarades : Nji Ivo, Charly mérinos Liatou, Romuald Ntchuisseu et jean François Ebode Tabi pour ne citer que ceux-là.

         Après l’ESSTIC le talentueux journaliste bénéficie d’une bourse de formation et de perfectionnement en journalisme au Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes  à Paris en 2009. Il a achevé depuis l’année en cours, les cours en vue de l’obtention d’un Master en sciences politiques à l’université de Yaoundé II – Soa le candidat prépare en ce moment son mémoire.

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         Jean Bruno commence sa carrière de journaliste étant encore étudiant à l’ESSTIC, comme pigiste au quotidien Mutations pendant trois ans. Sa capacité d’analyse et son style d’écriture particulier, font de lui l’une des pièces fortes pour le lancement du quotidien  »Le Jour ».  C’est donc tout logiquement qu’en 2007 lorsque le jour est créé, il en devient le chef du desk sport jusqu’en 2011 lorsqu’il est promu chef du service politique, puis grand reporter. Il est ensuite nommé par décret présidentiel, membre  du Conseil National de la Communication.  En 2016, le journaliste est sollicité par Canal 2 comme Directeur général adjoint chargé de l’information. Jean Bruno a fait plusieurs stages lorsqu’il était journaliste au quotidien Le Jour. Certains souvenirs lui ont échappé : « Ceux qui me reviennent ont été effectué au Kenya, en Afrique du Sud et au Gabon en 2010 organisés par la FIFA »

         En tant qu’écrivain, Jean Bruno Tagne avoue être sur le point de publier son troisième ouvrage qui sera centré sur la politique.

Les bons et mauvais souvenirs 

« Mes bons souvenirs dans la profession jusqu’à présents ce sont ces nombreux voyages et ces rencontres. J’ai quand même couvert deux coupes du monde (2010 en Afrique du sud et 2014 au Brésil) deux CAN (2008 au Ghana et 2010 en Angola). C’est quand même des événements marquants et pour justement laisser traces de mon passage au sport, j’ai publié deux livres : PROGRAMMES POUR ECHOUER, une enquête sur la débâcle des lions indomptables en Afrique du sud (2010) et LA TRAGEDIE DES LIONS INDOMPTABLES (2014). Les mauvais souvenirs, je les ai oubliés. En général je ne retiens que les bons moments et la vie continue »

Jean Bruno vu par lui-même

« Je me vois comme un homme de conviction passionné, droit dans ses bottes. »

Un conseil aux jeunes confrères

Travailler, travailler, travailler.

Plats et couleurs préférés

Le sanga bien sucré et j’aime bien le bleu

Slogan de vie

« Faire et laisser dire »

Par André BION copyright 2018

andrbion@yahoo.com/nomsetvisagesdepresse.wordpress.com

 

Claris Achu

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The calm woman behind the talkative journalist

She is one of the names and faces seen by viewers on CRTV. She looks timid and at time very speechless, when she is out of the studio. But as soon she starts presenting the news then you discover the power of the calm talented anchor Claris Achu. We thought it would be difficult to know about her life before the appointment with Claris. Great was our surprise when we discovered a simple person ready to share about herself. So here is Claris Achu as never seen before.

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Claris was born some 39 years ago in Bamenda, Chieftown of the North West Region. She is heart taken  proud mother of 3 boys and a native of Baforchu in the North West region. My parents live in Bamenda. My mum is a trained teacher. I got 5 siblings. I am the second in the family. We are quite close, especially with our mum

My siblings and I share a strong bond. We are quite close, especially with our mum. My siblings and I share a strong bond

         Claris Achu is owner of a Bachelor’s degree in journalism and Mass Communication obtained at the University of Buea. She is also certificated in Crisis Information Management from the Kofi Annan International Peacekeeping Training Centre in Ghana. The discreet journalist is pursuing post graduate studies in peace and development.

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         Claris Achu started doing journalism professionally since 2002, when she was recruited by the CRTV. She Began her career in the North Region – CRTV Garoua. Moved to CRTV South West in Buea and later transferred to CRTV central TV news desk at Mballa 2 in Yaounde. Some mates are:. Moity Uwaifo Akonjang, Toni Nanyongo…others have moved on to other communication fields. These are the ones I remember are still practicing

         In the early days of her career she worked mostly on Radio. But the last 10 years she worked on television broadcasting. Through hard work and determination the journalist moved from field reporter to Deputy Editing Supervisor, Deputy Assignment Editor, and Culture Desk Editor all at the central TV news desk. She is Currently Service head in charge of programming and Entertainment at the newly created CRTV sports and Entertainment Channel., yet to go operational.

         For years Claris has been one of the anchors for crtv’s prime time edition- of the 7.30 news. She is currently co-host of the political debate – political forum aired monthly on crtv television.

                              Her motto

I believe in taking one day at a time. Because everything works well for the good of those who trust the Lord

                                     Advice

Hard work pays off at the end. It’s a competitive world and some some women think they have to rise through the couch. But I believe the secret is in relentless effort and hard work. It has worked for me. And I believe it will work for others.

Preferences

                    Blue! I like black too. Meals…I go for most traditional meals but rice is my all time favourite. My best moments are spent with my sons. I like playing Mother, friend and playmate with them

                                   Icons

In Cameroon I used to love ufei Nseke and Jesse Atogho Ekukole. I love Christian Amanpour of CNN

                        Claris seen by herself

Well I like new challenges and I am always on the lookout for an experience that can bring greater learning for me and others.

Perspectives

I am truly looking forward to an opportunity to serve humanity more by participating in resolving conflicts, bridging the divides between people’s and getting us humans to understand that we can agree to disagree and still coexist harmoniously. It explains my interest in peace and development.

 

Par André BION copyright 2018

andrbion@yahoo.com/nomsetvisagesdepresse.wordpress.com

 

Martine Aicha Mengue Ndengue

La bonne humeur d’une bonne humaine !

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            Martine  est Chef du Service des Sciences et de la Société à la rédaction centrale TV de la CRTV depuis décembre  2017. La jeune dame crève de plus en plus l’écran de ses prestations de talent. Parmi ses atouts, ses fans citent : son  sourire qui lui colle aux lèvres, traduisant son éternelle bonne humeur. Elle est dite très affective, très sociable, très maternelle et d’agréable compagnie. Ses tenues et coiffures qu’elle arbore lors de ses prestations à l’écran, suscitent des compliments, voire des condiments de sympathie de la part de ses fans dont le nombre va sans cesse croissant à chacune de ses présentations du 12 heures. L’une des qualités qui frappe quand on l’approche c’est bien sa liberté à se confier, à crier haut et fort les merveilles de Dieu dans sa vie. La voici donc toute à vous, intarissable et dévoilée sans modération dans Noms et Visages de presse.

 

Une vie de famille qui brille sur son parcours

            Talentueuse au boulot et heureuse en famille, Martine Noelle Aicha Mengue épouse Ndengue est née il y a  34 ans à d’un père Ewondo et d’une mère Bamoun. Un père qu’elle perd deux semaines après sa nomination comme Chef Service Sciences et Société à la rédaction centrale tv de la CRTV en décembre  2017. Une disparition fatale que Martine considère comme sa plus grande douleur. Normal son père la comprenait et l’accompagnait dans ses choix relatifs à son avenir.  Un haut fonctionnaire qui a su aider sa fille à trouver très tôt sa voie et à faire entendre sa voix. La journaliste passionnée est mariée et mère de deux charmants petits garçons. Petite précision utile, Aicha est le diminutif de Aichetou le prénom que ses grands parents maternels lui ont donné.

            Des études au gré des nombreuses affectations de papa

            Martine Noëlle fait ses premiers pas d’écolière à l’Ecole Maternelle et Primaire de Massa Ngam dans le Noun. Elle s’en tire avec son CEPE. Après sa sortie des cours de recréation d’écolière dans le Département du Noun, madame Ndengue est embarquée à Yaoundé. Elle intègre l’Internat du Collège Notre Dame de Mimetala où elle va de la 6ème en 5ème. La classe de 4ème, elle la fera à Sangmélima au Collège Notre Dame. Puis, direction l’Extrême-Nord où Martine obtient son BEPC au Lycée bilingue de Maroua. La classe de 2nd l’accueille ensuite au Lycée Classique et Moderne de Mvomeka précisément à l’Internat. Malheureusement une vilaine maladie la pousse à quitter cet établissement au deuxième trimestre pour le Lycée Classique de Mbalmayo. La journaliste y reprend la classe de 1ère.

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            Même ville mais autre établissement celui du Collège Saint Cœur de Mbamayo.  Là, elle obtient son Probatoire tant bien que mal et décroche en 2004 le Baccalauréat A4 Allemand au Collège de la Retraite de Yaoundé. Dans le même temps, Martine Noëlle est admise en Lettres bilingues  à l’université de Buea. Mais les grèves d’étudiants n’y favorisent pas la poursuite de ses études. La brave étudiante ne se laisse pas pour autant faire. Elle tente et obtient le concours d’entrée à l’Ecole de formation sciences Po Paris. Mais un autre obstacle se dresse sur son chemin. Elle n’obtiendra pas le visa. La jeune téméraire s’inscrit alors dans la même filière à l’Université de Yaoundé 2 à Soa. Nous sommes en 2005. Après l’obtention de son Deug dans cette université en 2007, elle est au courant le lancement du concours d’entrée à L’Ecole Supérieure de Journalisme de Lille en France. Elle pense alors que c’est l’occasion de réaliser son rêve d’enfance, celui de devenir journaliste dans cette école. Elle saute donc sur l’occasion puisque l’Ecole à l’époque admet les candidats avec le Deug. Aujourd’hui nul ne s’y aventure que nanti d’une Licence. Martine s’en souviens : « j’ai enfin réalisé mon rêve réussir le concours de l’Esj de Lille que j’ai intégré en 2009. Sortie en 2011 nanti d’un Master en journalisme option télévision. »

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            Son séjour dans cette prestigieuse école de journalisme lui donne l’opportunité de faire des voyages d’études dans plusieurs pays à l’instar de la Turquie et s’imprégner des réalités professionnelles des rédactions de 3A télé Sud, TV5 et Africa 24.

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            La journaliste regagne ensuite le Cameroun et est recrutée à la Crtv après de longs mois de stage. Elle s’y distingue par des reportages de grande pertinence. Son talent aidant, elle est très vite promue à la présentation du 8-12- 18h dès 2013, puis du 8-18h, puis du 8h dans la matinale et depuis janvier 2018 le 12h.

Martine vue par elle même

            « Tout ce qui est « human interest » c’est mon dada. Suis une personne sensible et vraie. D’apparence trompeuse. Beaucoup m’approchent avant de m’avouer qu’ils croyaient que je me prenais la tête. J’aime m’amuser quand je peux. »

 

Plats préférés

« J’aime bcp les légumes. Le riz manque rarement dans mon menu. J’aime bcp le rose et le bleu. Le bleu c’est une de mes formatrices à Lille, Marlene Anconina Mazaud qui me l’avait conseillé. Car dit elle ça faisait ressortir la couleur noisette de mes yeux. »

Ses icônes

            « Mes icônes sont tellement nombreuses Anne-Sainclair la 1ère ( Quelle grande classe ), Charles Ndongo( plus qu’une icône, un modèle…L’humilité faite homme), Adèle Mbala ( Quelle intelligence, quelle aura…), Aimé-Robert Bihina ( Les mots me manquent …Quel bosseur, en toute humilité…Et dire que nous avons le même sang qui coulent dans nos veines…, Anne-Claire Coudray une pépite en toute fraîcheur sur TF1 ( Admirative du parcours de ma jeune formatrice à L »ESJ. Une belle âme) etc etc. »

Slogan

Dieu a un plan pour chacun.

Un conseil aux jeunes

Rêver grand et travailler dur pour réaliser ses rêves.

 

Par André BION

copyright 2018

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Luc Bienvenu Onana

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Un géant du micro au grand cœur

Sa voix l’impose aux auditeurs autant que sa taille et son sens poussé des relations humaines, à ceux qui le fréquentent. D’apparence robuste et donc inaccessible, LBO comme on aime à l’appeler est un géant au sens propre comme au figuré. Cela ne l’empêche pas d’être sociable, aimable et toujours prêt à venir en aide aux jeunes confrères parfois même à leur soumettre ses textes pour relecture. Le Chef du service Economie au Poste national de la CRTV est en effet, de ces journalises dont l’humilité professionnelle constitue l’identité remarquable. Mais au fait qui est LBO ? Quel est son parcours ? Découvrons cet homme, ce journaliste, ce professionnel d’une simplicité école, dans Noms et Visages de Presse.

            Luc Bienvenu dont l’âge de vie s’inscrit dans la quarantaine est un digne fils de la Région du Centre, marié et père de deux garçons. LBO appartient à la 26ème promotion de l’ESSTIC avec des camarades tels que : George Kelong, Evelyne Owona Essomba, Roger Mamoun, Anselme Ndolpata, Billy Eko, Gidéon Adjomo, Atangana Manda, les commissaires principaux : Joye Cécile Ndjem Mandeng, Diterline Assaga épouse Mbappe, Edith Abilogo épouse Nyobia, Martial Tchibinda, présentateur vedette du journal télévisé sur la 1ère chaîne gabonaise, le malien Alassane Mohamed ou encore le togolais Ngass, entre autres.

            Il est  titulaire d’un Baccalauréat A4, d’un Deug en Lettres Modernes Françaises et d’un Master en urbanisme, aménagement et développement urbains.

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            Son parcours professionnel lui a permis d’occuper les postes de délégué départemental de la Communication de la Vallée du Ntem dans la Région du Sud. Puis, il intègre la CRTV où il est reporter à la rédaction centrale TV à Mballa 2. Il va ensuite être affecté à la station régionale de CRTV Adamaoua puis revenir comme reporter à la rédaction centrale radio de la CRTV. Il gravit alors tour à tour des échelons. Il est nommé Chef d’édition à la Direction de l’Information radio, Chef du service Economie  à la Direction des rédactions radio poste qu’il occupe en ce moment, présentateur de journaux parlés et de magazine radio, chroniqueur économique. LBO a plusieurs fois été envoyé spécial à l’étranger.

Souvenirs

            « Je me souviens  avoir été  le premier à annoncer au Poste national de la CRTV,  la découverte du corps de l’évêque de Bafia Monseigneur Jean Marie Benoît Bala en direct du pont d’Ebebda. Battant de vitesse les réseaux sociaux. L’un de mes meilleurs souvenirs reste l’intervention en direct du Palais de l’Unité à l’occasion de la visite du Président français François Hollande au Cameroun. J’ajoute à cela la couverture et les productions tv de plusieurs descentes sur le terrain des responsables du Mindef dans les zones de combat contre Boko Haram.

            Mes plus beaux souvenirs demeurent d’une part  le jour de mon admission à l’Ecole de journalisme. Je fus classé 1er après plusieurs tentatives qui s’arrêtaient à l’admissibilité. Et l’autre c’est la naissance de mon fils aîné, Georges Anthony au sortir de l’ESSTIC.

            Mon pire souvenir reste la mort de mes parents alors même que je n’étais encore qu’au début de ma carrière. J’aurais tellement voulu qu’ils soient encore en vie aujourd’hui pour pouvoir les honorer. »

Luc Bienvenu vu par lui-même

« Je dis merci à l’Eternel de m’avoir donné un cœur d’amour doublé malheureusement de ce que beaucoup n’aiment pas, la vérité. Ce qui fait que malgré l’amour que je porte dans mon cœur vis-à-vis de mon prochain, ce dernier aussitôt que je lui dis la vérité me considère comme méchant et pourtant c’est par amour que je le fais. »

Préférences

« Kpwem, M’mwam, Kwas et de temps à autre okwok. Je n’ai pas de couleurs préférées. »

 

Ses icônes

« Mes idoles : Augustin Charles Mbia, le meilleur chroniqueur culturel que j’ai jamais rencontré, Pr Noah Mbédé pour sa spontanéité, Alain Belibi pour sa facilité à mettre toujours en cohérence un journal, Jean Lambert Nang pour sa maîtrise du conte journalistique, Abel Mbengue, véritable bibliothèque de l’histoire du sport africain et Antoine Marie Ngono pour sa maîtrise de la présentation des magazines, etc. »

Perspectives

« Mes perspectives sont celles que l’Eternel a souhaitées pour moi, alors même que j’étais encore dans le sein de ma mère. Donc je ne peux rien prévoir si ce n’est de suivre jour après jour, année après année le chemin que le Seigneur m’ouvre. »

Par André BION

copyright 2018

andrbion@yahoo.com/nomsetvisagesdepresse.wordpress.com

Benn Meno Pufong

A noisy talent from a silent man

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Benn Meno Pufong masters the role of television news anchorman with such plain-spoken grace that he was called the trusted man. He is considered as a reference by young journalists, with an unflappable delivery, a distinctively avuncular voice. He is Uncle Benn to many: respected, liked and listened to with his calm manner.

Ben Meno Pufong has born a king. In fact, he is a child of two worlds and the offshoot of the union of two royal and princely bloods – Peter Mouokuio Pufong of the Bagam first class chiefdom of Galim Subdivision, a Tikari clan people situated on the borders between the west and the northwest region of Cameroon and Galabe Agnes Nahli, Princess of the Balikumbat royal family, a Chamba tribe in Ngoketunjia Division of the northwest region.

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Benn Meno Pufong was born some 51 years ago and named Meno Mouokuio Benjamin but grew up with the pet name of Benn which in principle is the shorting of Benjamin. In fact he grew up the name Benn Pufong because brothers and siblings bore the name Pufong which was actually the name of their paternal grandfather. He is one among the few of his father’s several children he bears their father’s own birth name, Mouokuio.

Benn actually didn’t know that he never bore the name Pufong like the rest of his brothers and siblings until he went to Secondary school. In fact his First School Leaving Certificate still bears the name Benn Meno Pufong up till today. Benn attended primary school in Saint Mary’s Catholic Primary school Balikumbat up till class four then moved over to CBC School Ndu in the Donga-Mantung Division in 1977 before returning to catholic primary school Ntenkar-Bamessing in Ndop Subdivision between 1978 and 1979 where he obtained his First School Leaving Certificate (FSLC). After brilliant passing the got common entrance examination in list « A » and the FSLC in the same year, he got enrolled in government high school Nkambe
Three years after and following the transfer of his sister with whom he was living in Nkambe to Yaounde. Benn moved with them, but unfortunately could not be enrolled in LBA Government Bilingual Practising High School, where he would have loved to continue schooling and so got enrolled into the pioneer English evening schools in use – the Central Evening School Messa. While he had the audacity to enrolled straight for the GCE O Level, instead of continuing in for four where he had passed to from GHS Nkambe.
9 months after he obtained his GCE O Level in flying colours and decided to go back to GHS Nkambe. While in name he became the object of envy and admiration as he had moved up straight to Lower Sixth while his Mates of yesterday still had to battle it out with the 0 level in form five. In 1986 he pocked his A Level in arts (French, English Literature and History). That’s how he got enrolled in the University of yaounde from where he graduated in 1990 with a BA (Hons) in English with Linguistic as his Specialty.
While in the faculty of letters and social sciences of the University of Yaounde, he wrote the entrance exams into ASMAC twice (1987 and 1988) but failed. He confesses: “The dream of my life had always been to be a journalist that’s why I never attempted any other competitive entrance exams in those days but ASMAC. That’s how luck smiled on me in 1993 when I was among the 25 admitted into that highly coverted institution. It should be noted that I passed into ASMAC on the waiting list and my debut of classes the day i joined the rest of my other mates is a whole anecdote remeniscent of the day I was hand led into primary school. All the same I was so so elated to be part of this institution that will one day make measure up to the seniors’ journalists.

 

So he left ASMAC in 1994 as the 22nd batch and since the 26 of February 1998 he has been proving his mettle at the CRTV. Three years after and following the transfer of his sister with whom he was living in nkambe to Yaounde benn moved with them to use but unfortunately could not be enrolled in LBA(government bilingual practising high school) where he would have loved to continue schooling and so got enrolled into the pioneer English evening schools in use – the Central Evening School Messa. While he had the Ada city to enrolled straight for the g

It should be pointed out here that between 1994 and 1998 while working as Cardres in the Ministry of Communication Benn and some mates constituted themselves into an elite group of cub reporters who integrated CRTV’S Yaounde FM 94 as external collaborators. Between that period and when they were finally integrated into CRTV they made yaounde FM 94 a reference in the capital city.
In fact Benn initiated the English language midday news summary at the station with a signature that has remained popular right up today « Benn Meno Pufong – on 94 FM ». That was just an aside. So after his recruitment by CRTV he was posted to The Littoral Regional Station in Douala as a continuity announcer and regional correspondent.
Nine months later the talented journalist was transferred back to the central news desk in Mballa II where he was not only a reporter but where his experience with TV news presentation began taking roots. Early in 1999 Alex Mimbang and him were designated as presenters of the late night news on TV. Benn remember: “a responsibility we assumed so perfectly well that it caught the attention not only of the hierarchy but of the entire newsroom. On so on one fateful afternoon in the month of June 19991 I was home resting after the morning shift getting set bounce back in the evening to start preparing the night when my phone rang and it was the editor in Antoine Marie Ngono who was ordering to rush over to mballa II and prepare myself to to present the 7:30 news in replacement of the main anchor Marie Louise Ngwa Cheka who was unavoidably absent. I panic for a while and later pulled myself together determined to take up the challenge. At the time there were no prompters. I came over dressed in a blue suit, sat in the newsroom; rewrote the few leads I could rushed out to the make room and showed up in the studio 10 minutes ahead of news time. When the jingle rolled off I breathed in heavily and then breathe out and told myself here we go! The first story ran – no issue, the second still no issue.”

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Then the third, fourth, fifth …. till the last story – still no issue. When the closing dig tune ran everybody rushed up to me on the studio congratulating for a job well. And the next day when i walked in the newsroom for the newsroom conference Anne Marthe Mvoto hailed me saying  » mais je vous cherchais des presentateurs en anglais, en voici un » That is how my story with news presentation began and I’ve been there since then till now with a few interruptions when I became the presidential affairs correspondent first with the division des reportages speciaux then later the division design activités de souveraignité and then as the was between 2006 and 2016. Today I’m editor-in-chief but still the main anchor if the 7:30 news. The two are quite challenging but I assume them with humility and devotion.

I’m married to the woman of my dream who is a senior guidance counselor who consensus not only her students but me the husband as well. We are blessed with two children two pretty girls. On may 29 2018 my wife and I will be celebrating 20 years matrimony for which we give glory to God. I am a staunch catholic baptized since the 23rd of December 1975 in Balikumbat.
Preferences

I adore fufu corn and njama-njama. My colours black and white but also nevy blue pink, indigo and sky blue.
Souvenirs

“My mother has been so immense significance in my life shaping and influencing every bit of it. My mother what an unbending disciplinatian she was! For the least misdemeanor she will luck you up in her room have your hands and legs tied up before mercilessly administering lashings. She will fluck you and give up only when er hands grew weak and weary. There you are under torture with hands and legs tired, the door firmly lucked with no one else to come to your rescue. You must be a naturally heady child to go wayward and be subjected to mama’s beatings a second time. That’s her she kept me on track otherwise I would have grown up to be something g else -who knows? When you come from a hyper polygamous home like the one I come from things cannot be otherwise. Every wife was jealous of her child. Like I earlier said my father got married to at least six wives in his life time. All of these wives were so gifted in fecondity some delivering up to nine, ten and even eleven times. Despite that we all governed by such a strong sense of solidarity and support that no one dared challenge any of us in a scuffle or fight. No the entire family will descend on you almost immediately or whenever the news gets to the rest of the family member. We were so dreaded that we got infamously nick named « La brigarde rouge ». So my father had not just a battalion but a whole army children to such a point that we nicked in the village « la brigarde rouge ». and virtually each wife fended for her children. …we were so dreaded that we got infamously nicknamed brigade Rouge because of the ferocity of retaliation that followed each time a family member was attacked.”

His Icons
Walter Cronkites; the Dan Rathers; Eric Chinjes and Ful Peters have remained my all time role models.

Bennen seen by himself

Life to me is all about believing in yourself and your abilities. If you dont do it yourself no one else will do it for you. I take a lot of pleasure in doing my things and I’m the greatest critic of the things I do because I want to touch and influence as many lives as I can from my little corner. When people derive satisfaction from the things I do, I’m the most pleased. Im first and foremost a very fervent Christian, a catholic. I put God at the centre of my thoughts and actions because i know he lives and reigns and that everything without him is null and void. Everyone is born with a hidden potential and capacity to accomplish great things but you need to work hard to give sense and direction to these innate potential and capabilities else they become redundant and wasted. I wear lot of smile and good humor and i take everything that happens to me with much laughter – be they good bad or ugly. The two virtues that lead me in life are humility and simplicity. I love leading a rather discrete life though God has made it such that i hardly pass by unnoticed. Carrying that the image around is one of the greatest challenges that i now have to cope with and believe me it’s not easy! It is a good thing to be a public figure but believe me it has its own low sides that require some extra means and stamina to go along with. Fortunately that by nature i lead an extremely down to earth life – no stress no complications – so i can easily stand the storm.

Perspectives

My projects and prospects in the immediate and short term is to run a media consultancy firm and why not take up a permanent job training and forming in journalism and mass communication that I am already doing on a part time basis at the Yaounde Advanced School of Mass Communication ASMAC of the University of Yaounde II. Of course all of this certainly when I Shall have jumped out of active because if we take all the professional gray stuff that God has so generously blessed us with without imparting them to the generations that are following after us then we shall have crossed the river and taken the bridge along with us. God forbid!

By André BION

André BION andrbion@yahoo.com/www.nomsetvisagesdepresse.wordpress.com

Florida

Brillante au propre comme au figuré

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Sa quasi permanente bonne humeur assortie de ses belles coiffures, colle à son visage un rayonnement toujours des plus retentissants. Elle est connue incandescente de dynamisme. La plus part des fans de Florida, la productrice et animatrice de talent de l’émission Jet Privé sur la CRTV TV, trouvent qu’elle honore le savoir-faire de la télévision nationale camerounaise à l’international. Le professionnalisme de cette jeune dame dynamique, a fait dire à l’une de ses admiratrices qu’elle sait respecter le travail des artistes. Mais au fait qui se cache derrière ce nom et ce visage de presse ? Florida nous a fait l’honneur de nous ouvrir la très discrète porte du jet privé d’un pan de sa vie.

Tchana Flore de son véritable nom, la nièce d’une légende de la musique camerounaise, Florida est née à l’hôpital de Mbô dans la Région de l’Ouest Cameroun et a grandi dans la ville de Bafoussam dans une famille nombreuse, riche de 12 enfants sortis d’un seul et même ventre. Elle est d’ailleurs la benjamine de la famille. À l’époque, affirme-t-elle sa mère s’était vue décerner une médaille par la mairie, pour le nombre d’enfants qu’elle avait eu. Florida est dans la quarantaine et est mère de quatre enfants. Et il faut ne souligner ce n’est plus un cœur à prendre. Elle a comme elle se plaît à le dire, un homme dans ma vie.

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Des études ordinaires pour un talent luminaire

Florida a fréquenté l’Ecole Primaire au Groupe A de Bafoussam. Après l’obtention de son CEPE et de son entrée en 6ème, elle intègre le collège St Thomas d’Aquin où elle séjourne en 6ème puis en 5ème. Elle sera obligée de quitter Bafoussam pour suivre son frère aîné à Yaoundé. C’est dans cette ville qu’elle achève son parcours secondaire au Lycée de Biyem Assi.
Après avoir décroché le Baccalauréat D, Florida va poursuivre ses études en Côte d’Ivoire précisément à l’EFAP, entendez École Française des Attachés de Presse. Elle y reçoit une formation professionnelle très rigoureuse en Audiovisuel. Elle s’applique à telle enseigne qu’elle décide de s’envoler pour la France pour me spécialisé dans la Réalisation. Mais elle fait face à une difficulté dont elle se souvient : « l’école coûte extrêmement cher et la réalité du terrain m’oblige à réorienter mes priorités. Il faut travailler pour s’assumer déjà et avoir une certaine stabilité. »
Face à cet obstacle, Florida ne baisse pas les bras. Elle mûri tout doucement d’importants projets et fais des économies pour se relancer dans sa véritable passion, l’audiovisuel.

 

Trajectoire d’une carrière dont l’audace a couronné le succès !

La digne fille de Bafoussam entame des affaires aves une maison de productions en France, puis décide de créer en 2003 sa propre Boîte de production Alpha et Oméga Productions. Dans la foulé Florida initie des démarches auprès des entreprises pour couvrir des événements, faire des publi-reportages ou des spots publicitaires. Après plusieurs propositions de programmes à la CRTV, elle finit par signer en 2007 le contrat pour la production de L’émission  » JET PRIVÉ ». Elle nous replonge dans ses souvenirs : « Le challenge était énorme à l’époque car la chaîne nationale avait perdu le monopole du marché et plusieurs chaînes de télévision privées avaient pris de la marge. »

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Quelques années plus tard, l’émission qui n’était encore jusque là qu’un pavé jeté dans la marre se transforme en une véritable référence. Jet Privé devient un rendez-vous que personne ne veut manquerFlorida se sent honorée. Elle a relevé le défis de conquérir les cœurs très réticents et trop exigents des téléspectateurs de la CRTV et même à L’international. Jet Privé fêtera ses 10 ans d’existence en 2019 à la CRTV. Pour Florida, Jet privé est une consécration, un objet de satisfaction personnelle : « Beaucoup de programmes n’ont pas autant perduré de nos jours et sous plusieurs directions… C’est Une fierté pour Moi. »
Mais au fait comment est née l’idée du nom de baptême Jet Privé ? Florida réponds tout simplement : « JET PRIVÉ part du fait que j’aime voyager, j’aime La Musique et J’aime La Classe. Donc J’ai voulu créer un Concept qui réunirait ces trois éléments. »

FLORIDA VUE PAR ELLE-MEME

Je suis une Femme battante qui n’a pas peur de l’échec, et qui ose toujours pour atteindre ses objectifs. Je suis assez optimiste en général et Je crois que tout est possible quand on place sa confiance en Dieu.

SES ICONES

Je suis Fan de Oprah Winfrey et je souhaiterais révolutionner les shows télévisés comme elle l’a fait.

PLAT PREFERE

Mon plat préféré c’est le maquereau braisé bien assaisonné avec les bobolos

SON SLOGAN
 » Avec Dieu tout est Possible! »

UN CONSEIL AUX JEUNES CONSŒURS

Croire en elles, ne pas se laisser compromettre, ne pas être pressées d’arriver car nul ne peut changer notre destin.

Par André BION
André BION andrbion@yahoo.com/www.nomsetvisagesdepresse.wordpress.com

Noms et Visages de Presse, stop et fin de la Saison 1

Noms et Visages de Presse, stop et fin de la Saison 1. Le moment n’aurait pas été mieux qu’en cette journée dédiée à André, mon Saint Patron. Je voudrais saisir cette occasion pour remercier tous ces confrères qui ont accepté d’offrir aux lecteurs et internautes des portions de leur « success story », allant parfois jusqu’à des révélations d’une incroyable pertinence. Je voudrais vous dire toute ma gratitude et mon incommensurable reconnaissance pour la confiance manifestée à l‘endroit de ma modeste personne. Je voudrais aussi et enfin saluer tous ceux et celles, très nombreux en attente qui seront publiés dès l’année 2018, avec de nombreuses innovations fruits de vos diverses propositions. Une année 2018 que je vous souhaite à tous et à chacun bienheureuse et riche de bénédictions divines.

Dear readers and fans of this page. I choose this opportunity of the day dedicated to St Andrew, to announce that, we are closing the first season of Press’s Names and Faces. Thus,i would like to thank all of those who accepted to make this adventure become concret. Let us meet next year 2018 with a lot of innovations via your proposals, if God agree. Happy new year 2018.

André BION andrbion@yahoo.com.

Daniel Augustin Mpeck mintamack

L’histoire d’une passion pour le Micro née chemin faisant

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Sa voix suave, son expérience indiscutable, sa chaleureuse compagnie, sa simplicité empreinte d’une rare humilité et le sérieux affiché à chacune de ses prestations, ont poussé de nombreux jeunes journalistes fan de DAMM, à le hisser au rang d’icône. Daniel Augustin Mpeck Mintamack est un homme de presse qui malgré l’extrême discrétion qu’on lui connaît, nous a honore de sa participation à ce rendez vous des Nom et Visage de Presse. Voici donc DAMM en posture de dévoilement de ses parcours scolaire, académique et professionnel. Mais aussi et surtout de ses hauts et bas dans le monde de l’audiovisuel.

Daniel Augustin Mpeck Mintamack est originaire du département du Nyong Ekellé Nord dans la Région du Centre plus précisément de l’arrondissement de Makak centre. Fils de chef, son père décède quand il n’a que treize ans. Il est marié, père de huit enfants : six filles et deux garçons. Né le 9 novembre 1963, Daniel Augustin est l’avant–dernier d’une fratrie de huit dont trois garçons et cinq filles.

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DAMM fait ses premiers pas d’écolier à l’école maternelle puis il est admis à l’école primaire de Makak. Une école privée confessionnelle de l’église presbytérienne, L’école de Kongui où il obtient le CEPE. Il y fait toutes ses études primaires après un bref séjour au Collège Madeleine à Yaoundé situé au carrefour Mvog Mbi. Il se souvient encore de ce bref moment passé à Yaoundé. « Etant donné le changement d’environnement, ce n’était pas facile de s’adapter surtout pour un petit garçon qui vient du village. Trop d’effervescence entourait l’établissement. A l’époque, il y avait le cinéma de la Mefou en face. Malheureusement pour moi, tout villageois que j’étais, découvrant la grande cité, les fenêtres de sa salle de classe donnaient sur le cinéma de la Mefou. J’étais donc plus intéressé à observer les gens qui s’alignaient pour entrer au cinéma qu’aux cours dispensés par les enseignants. Ça s’est donc conclu par un échec en fin d’année et mon grand frère chez qui je vivais a tôt fait de me renvoyer au village. C’est comme cela que je rentre au village où on m’inscrit au Collège Sacrés Cœurs de Makak en classe de 6ème. J’ai donc fait la classe de 6ème deux fois. C’est une expérience qui m’a beaucoup servi car c’était le premier échec de ma vie scolaire. Je ne voulais plus échouer. Donc, quand j’ai repris la 6ème, je suis allé d’un seul trait jusqu’en Première. Jusqu’en Première par ce que l’année où nous réussissons le Probatoire, on fermait la Terminale à cause de certains mouvements d’humeurs dus à la transition de l’administration du collège des frères canadiens aux frères camerounais. On a estimé que les élèves finissants étaient dans le coup et il fallait s’en séparer».
Daniel Augustin Mpeck Mintamack repart donc en ville mais cette fois-ci à Douala au collège Catholique Chevreuil. « La petite histoire c’est que lorsqu’on arrive au Collège Chevreuil, on nous soumet à un concours. Nous sommes nombreux mais on en retient que deux. Et, je suis parmi ces deux-là ». C’est ainsi qu’il va faire la classe de Terminale à Douala, 8o % de sa famille étant dans la même ville. Ses sœurs aînées se sont mariées très tôt, une par exemple à l’âge de Seize ans, et vivaient à Douala. Il n’avait donc pas de problèmes d’hébergement jusqu’à l’obtention du Baccalauréat.

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« Là aussi c’est une histoire. Comment j’ai su que j’avais eu mon Baccalauréat. Je suis à Douala, on annonce les résultats pour 21 heures. De façon fortuite, ma maman se trouvait à Douala à ce moment–là… J’ai réussi les épreuves écrites et j’ai affronté les épreuves orales. J’étais convaincu d’avoir mon BACC. Je faisais la A4 et j’étais réfractaire aux Mathématiques. Cependant, la veille de l’oral, j’ouvre mon livre de Maths… Je crois que Dieu était avec moi». Il décide de réviser les éléments qui sont sur les premières pages et c’est ce qui va venir à l’oral de mathématiques. Malheureusement, son nom n’apparaît pas sur la liste des élus mais il garde un dernier espoir en attendant son relevé de notes. Les vacances progressent et il s’inscrit déjà au Collège Sacrés Cœurs où on a ré-ouvert la Terminale. Cependant, avant la rentrée, il réussit à avoir son relevé de notes et se rend compte qu’il a effectivement réussi son Baccalauréat. « Quelle joie ! »
Par la suite, Daniel Augustin revient à Yaoundé où il va obtenir trois ans après une Licence en Droit. Il fera ensuite plusieurs activités. Des répétitions, plusieurs concours, quelques formations en informatique. Il va même envisager la possibilité d’aller à l’étranger, question de « se chercher ailleurs ». Mais, tous ses projets n’aboutissaient pas.
A côté de cela, il est le petit frère d’un journaliste qui a occupé presque tous les postes à la CRTV. Il observait à travers cet aîné, toutes les réalités et contraintes liées au métier de journaliste. Une opportunité s’est présentée en 1995 à la CRTV. Le jeune chercheur d’emploi dépose ses dossiers et est retenu.
Il commence donc son travail au Centre de Formation de la CRTV à Ekounou s’occupant des tâches administratives. Plus tard, une secrétaire qui était affectée à la radio propose le nom de Daniel Augustin mais lui-même est très hésitant. Il dit avoir été presqu’obligé par la force des choses d’aller finalement à la radio. « Un jour en pleine réunion de la Direction des Programmes, le Directeur me dit : « Monsieur Mpeck, vous devez commencer l’antenne avec quelqu’un, Folly Dirane. » Je me dis quoi ? Folly Dirane, il maitrise déjà l’antenne… et c’était dans le cadre de l’émission « fréquence scientifique ». Une animation qu’il fallait bien meubler, bien préparer et je voyais comment Folly le faisait souvent sans papiers… Je m’inquiète. Il me dit c’est pour lundi. Jusqu’à lundi, c’était le stress. J’ai écrit mes papiers. Le moment venu, j’ai préféré commencer pour que Folly vienne par son expérience arranger les choses si je venais à me perdre. Mais quand j’ai terminé sa réaction m’a mis en confiance puisqu’il a dit aux auditeurs que c’est une voix qu’ils entendraient dorénavant. C’était le 1er décembre 1997. Après cela, pour chaque passage à l’antenne il fallait se préparer, écrire, s’enregistrer, écouter, corriger, se réécouter… sous le regard des aînés tels que René Martin Kanebena, Evelyne Ngono Aribama. Je ne savais pas que ça allait marcher autant, ce que les gens disaient de ma voix, de mon travail… puis j’ai fait quelques stages de formation notamment en Egypte. Il ya quelques regrets mais ma satisfaction est pleine par rapport à ce travail que je fais. »

Préférences

Mbongo tchobi et toutes les sortes de Mbongo avec le macabo. « J’ai une préférence pour le macabo blanc. » ; le plantain pilé ; la sauce de mangues sauvages. Couleur préférée : le bleu.

Conseils aux jeunes

« Le travail et la patience. Travaillez, soyez patients, faites ce que vous avez à faire sans brûler les étapes. Un autre élément, la Foi. Croyez en vous et croyez en Dieu surtout. »

Ses icônes

Jean Claude Ottou, Zacharie Nkwo de regrettée mémoire, Abel Mbengue, René Martin Kanebena

Son Slogan

« Garder la Foi en l’Etre Suprême, garder la Foi en la vie. »

André BION andrbion@yahoo.com copyright 2017